Dans une prison, les détenus ont tous, des droits qu’ils ignorent eux-mêmes le plus souvent. Cette ignorance les empêche de bénéficier de certaines faveurs dont ils jouiraient s’ils avaient fait un petit effort. Mais vous, vous vous intéressez à ces droits, afin d’assurer à un ami ou à un proche, une certaine aisance dans sa cellule. Quels sont alors ces droits familiaux qui protègent le prisonnier depuis sa cellule ?
Le droit au mariage
Bien qu’il soit détenu, le prisonnier à certains droits familiaux. Découvrez-les sur https://paleojura.ch/ . Le droit au mariage en est un. Cependant, ce mariage doit se faire dans l’enceint de la prison. A cet effet, le prisonnier est tenu d’avoir une autorisation du procureur de la République. Cette condition s’impose de manière directe. Aussi, tous ceux qui désirent assister à ce mariage devront également avoir l’autorisation du procureur. Par ailleurs, le détenu peut vouloir célébrer son mariage loin de la prison. Dans ces cas, une marge est également accordée. Avec l’approbation du juge, il peut s’unir à son bien-aimé à la mairie ou dans les murs de la femme.
L’autorité parentale
Le prisonnier conserve aussi, l’autorité parentale sur sa progéniture. Bien qu’il soit en garde à vue, il ne perd pas ce droit. Il a l’autorité sur tous ses enfants et assumera la responsabilité parentale à l’égard de ceux-ci. Mais avant, le prisonnier devra avoir la chance que les procès précédents ne lui aient pas enlevé ce droit. S’il arrive que le juge le trouve inapte pour assurer la protection à sa famille et pour assumer la responsabilité de leurs actes, il ne conservera plus ce droit d’autorité parentale. Dans le cas où le prisonnier conserverait ce droit, il pourra aussi reconnaitre son enfant comme tel à sa naissance.
Le droit de visite
Ici, il ne s’agit pas uniquement des visites que recevra le prisonnier dans sa cellule, mais aussi de sa sortie vers un hôte. Lorsqu’il s’agit d’une maladie grave ou du décès d’une proche, le prisonnier reçoit l’autorisation de sortir pour une visite à l’hôpital ou pour assister aux funérailles. Il faut noter que cette permission de sortie est accordée à ceux dont la peine de détention n’est pas supérieure à cinq ans. Dans le cas contraire, il sortira sous escorte ou menotté.